Chaque automne, les bilans tombent. Les températures battent de nouveaux records. Les feux de forêts s’étendent plus tard dans la saison. Et pendant que la COP se prépare, beaucoup attendent encore 2026 pour “réajuster leurs plans climat”. Mais le CO₂, lui, n’attend pas.
Les émissions repartent à la hausse dans plusieurs secteurs. Transports, numérique, bâtiment : les promesses de neutralité carbone se heurtent à la réalité d’un quotidien encore trop dépendant des énergies fossiles. Les délais s’allongent, les échéances RSE se repoussent. Pourtant, chaque tonne de CO₂ évitée ou compensée aujourd’hui compte double : pour le climat, et pour la crédibilité des engagements pris.
L’urgence n’est pas un concept, c’est un calendrier
La CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) est entrée en vigueur en janvier 2024 pour les entreprises déjà soumises à la directive NFRD (Non-Financial Reporting Directive), mais l’échéance pour la plupart des grandes entreprises est reportée à janvier 2026 pour l’exercice 2025. Mais attendre cette date pour “s’y mettre”, c’est perdre deux années précieuses d’action concrète.
2025 doit être celle de la conversion : passer du discours à la mise en œuvre, de la stratégie à la preuve.
La transition écologique ne se décrète pas, elle se construit pas à pas, projet par projet. C’est dans ces mois à venir que tout se joue : intégrer le carbone dans ses décisions, revoir les déplacements, repenser ses chaînes d’approvisionnement, soutenir la nature au lieu de l’épuiser.
Contribuer ici et maintenant
C’est dans cet esprit que 1Action1Arbre accompagne les entreprises françaises dans leurs démarches RSE.
En finançant la plantation d’arbres sur le territoire, elles participent à restaurer des forêts, à capter du carbone et à redonner vie à des sols appauvris.
Chaque action est mesurée, chaque contribution est traçable. Ce n’est pas une promesse, c’est une empreinte positive, tangible.
Agir avant la fin de l’année, c’est donner du sens à ses engagements. C’est prouver qu’on ne reporte pas la responsabilité sur “l’après” mais qu’on choisit d’être acteur, maintenant.
Agir, même imparfaitement
La conversion écologique n’est pas qu’un devoir environnemental. C’est une question de résilience, d’adaptation, de lucidité. Les entreprises qui anticipent aujourd’hui seront celles qui résisteront demain aux contraintes climatiques, économiques et réglementaires.
Nous n’avons pas besoin d’un plan parfait pour commencer. Nous avons besoin d’une volonté sincère, d’un premier pas, d’une action mesurable. Chaque arbre planté, chaque tonne de CO₂ évitée, chaque geste comptabilise une part d’avenir.
La meilleure année pour agir, c’était hier. La deuxième meilleure, c’est maintenant.


